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1. |
A l'ombre de ta peau
02:37
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ELGIA
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2. |
Sans mille dollars
02:36
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ELGIA (texte/lyrics)
Sans mille dollars:
Hun hun
Donnez moi
Donnez moi
Donnez moi sans mille dollars, sans mille dollars Ou juste un peu d’eau
Juste un peu, juste un peu
Sans mille dollars ou juste un peu d’eau, juste un peu d’eau
Elle naviguait dans la courbure de son dos
Hun
Sans mille dollars sans mille dollars sans mille dollars sans mille dollars Ou juste un peu d’eau là
D’eau là
Dos las
Donnez moi sans mille euros
Ou juste un peu d’eau
Dos roo
D’heureux
Deux reeuuuu
Dorés
D’euros
Sans mille dollars ou juste un peu d’eau
(D’os à moi la monnaie)
Juste un peu d’eau
(d’Os à moelle la monnaie)
Le coup passa si près que le cheval fit un écart de côté
Donnez lui quand même à boire dit le général
Donnez moi un peu d’os à moelle la pognon.
Hum
(ELGIA)
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3. |
LE commercial
02:37
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ELGIA (texte/lyrics)
Le commercial:
Quand je frappe à la porte tu m’ouvres
Mais tu sais pourquoi ?
Je suis le commercial de terrain
Je suis le commercial dans tes reins
Quand tu m’ouvres je te souris je t’agite ma petite carte l’air de rien
Je suis le commercial de terrain je fais rentrer le commerce dans tes reins A toutes les femmes de l’intérieur
Moi je suis le hamster Hammer
Je frappe aux portes et j’apporte du commercial dans ta vie
Je suis le petit wistiti
Je suis le commercial de terrain le commercial dans tes reins
A toutes les femmes de l’intérieur je frappe comme minister AMER
JE suis un peu comme le facteur mais commercial de l’intérieur
Tu me donnes du cash moi du beurre
Quand tu m’ouvres c’est très bien
Je suis le hammer pour toutes les femmes de l’intérieur
De l’intérieur
Je suis comme minister aimeur
Je frappe aux portes et j’apporte du commercial dans ta vie
Je suis le petit wistiti le commercial de tes reins
Je suis comme un hamster damneur
Quand ton mari me donne mon beurre, moi je mets du cash à l’intérieur
Même si c’est pâleur dans ton intérieur pâleur pâleur
Quand j’insère ma petite carte ma petite carte de tes riens ma petite carte
Le commercial de terrain à toutes les femmes de l’intérieur je frappe comme minister hammer Et même si tu ressembles à rien ton mari me donne mon beurre je te repeins l’intérieur
Tu me donnes du flouze et moi du leurre je suis comme tes humeurs pour les femmes
De l’intérieur, de l’intérieur de l’intérieur de l’intérieur , de l’intérieur .
(ELGIA)
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4. |
Ton Altitude
02:38
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ELGIA
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5. |
Capitaine Gonzales
02:33
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ELGIA
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6. |
The magician dares
02:46
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ELGIA
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7. |
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ELGIA
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8. |
L'Aztèque
07:21
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ELGIA:
L’aztèque:
Je pensais être un métèque
Mais j’étais un aztèque
J’pensais qu’on aille au lit
Et que tout était fini
Mais tout est infinie
Je pensais qu’elle serait belle
Et que j’aurais la part belle
Je pensais que j’avais des ailes
Comme une bonne mutuelle
Je pensais que les macaron
Ce serait toujours bon
Un peu comme des bonbons
Qui sentiraient les cons
J’pensais que les tourterelles
Il leur pousserait des ailes
Comme je pensais que les singes
Feraient pas la grimace
Quand ils nous verraient
Eux aussi dans le miroir
Un peu comme sur un manoir
Un peu trop tard le soir
Je pensais que la lune
Elle comptait pas pour les brunes
Comme j’pensais que nos prunelles
Elles verraient si belle
La vie de nos collègues
Sans dessus sans dessous
A l’heure de leur retraite
Sans un mot sans un saoul
Ivre mort d’une vie qui suait en deux sous
J’pensais que les fontaines d’où l’eau vient en dessous
Illumineraient nos vies abreuvant nos souhaits
Mais sur la montagne il pleut désormais des harpies
Qui mettent dans nos feux là où sont nos enjeux
On à pas un wagon mais une gare de retard
Quand les guerre éclair le feu sous nos pattes
Et l’eau ne bouillonne jusque’à ce qu’elle soit sublimée
Et des nuages il pleut des écrans de télé
Des télé qui nous somment au sons des téléphones
Tous nos écrans de fumées qu’électrique nous sommes
Et l’écriture n’est pas inée car nous sommes en apnée
Dans l’eau d’une forêt d’arbres mort sous nos idées
Nos idées hautes un jour qui nous hôtes pour toujours
Le droit d’imaginer où sont posées nos télé
Le téléphone a sonné et comme dieu nous parlons
Dans l’âtre des cheminées nous parlons aux charbon
Ou grillent tous les jambons
Qui ne peuvent plus rêver
Qu’ils sont plus des cochons
Mais porcs grillés
Où les bateaux accoste pour changer la monnaie
J’pensais être un aztèque mais j’étais une étoiles
Qui comme mes rétines brillaient araignée dans la toile
J’pensais être un aztèque mas je suis un métèque
Un métèque qui pensais dans une bibliothèque
Qu’il était tenu comme une pupille de la nation
La nation des sardines de son évolution
Mais les étoiles rêvent qu’elle sont des étoiles
Elles ne sont que feu qui se refroidissent
Elles seront nos planètes dans le cosmos de nos têtes
Où petits sont les princes qui n’auront plus de droits
Sinon le droit de cité
Cette prison dorée
Où se dorent les rois
Mais les rois n’ont pas de reines
Juste des putes aux abois
Comme louve est Marianne
Qui défend ses droits
Ses droits dans le mur
La tête dans la prison
La prison de nos lois
Où sont bâties nos murs
Et je diagnostique notre loi
Juste la loi d’un murmure
Qui comme baies nourrissent les cochons
Un semi de liberté la où poussent les horizons
A l’orée de nos bois
Au bord des salaisons
Là où les métèques repartirons
J’pensais être un aztèque mais en fait nos raisons
Comme des pastèques qui laverons les charbons
Où les braisent mystiques feront nos déraisons
Où les allées obliquent éclairent comme deux lumières
Les chemins de fer où les wagons se déhanchent
Sans plus aucun égards aux paysages le soir
Mais les gares n’attendent plus mais les gares n’attendent plus
Pas plus que les aztèques
Pas plus que les planètes
Pas plus que les étoiles
PAs plus que les toiles
Pas plus que les moucherons
Pas plus que les citrons
PAs plus que les étrons
Pas plus que les cochons
Pas plus que les porcs
Pas plus que les allées
Pas plus que les cinés
Pas plus que les métèques
Pas plus que les grimaces
Pas plus que les oreillers
Pas plus que les matelas
Pas plus que nos draps
Nos drapeaux et nos lois
Pas plus que les enfants
Pas plus que les cloches
Pas plus que les églises
Pas plus que nos poches
Pas plus que les étoiles
Pas plus que nos droits
Pas plus que le ciel
Pas plus que le soleil
Pas plus que papa
Qui plut pas qu’à maman
Pas plus que nos règles
D’où naitrait les aimants
Pas plus que les pôles
Où s’endorment les épaules
Allez vas y dort
Vas y dort mon enfant
Mais après les macarons
Brossent toi les dents.
Après tous les vilains
Ne te lavent pas les mains
Mais enduits tous ces mûrs
Du foutre de nos blessures
D’où naissent les enfants
Vas y dort mon enfant
Je pensais être un métèque
Mais tu es mon aztèque
Un peu comme du mastique
Qui jointe nos plaies
Dans tes lois et croyances
Moi je m’en vais
Là où les errances
Ne nous attendaient pas
Là où les fragrances
Elles sentent nos pas
Là où nos coeurs
Battaient pas à pas
La joie des oiseaux qui s’envolent ici bas
L’aztèque n’est qu’un maux si tu n’y crois pas
La où la somme des mots
Ne nous attendaient pas
Là où plus un bruit nous attendent pas à pas
Là où du silence on nous couvre d’un draps
Vas y dort mon enfant même sans ton papa
Vas y dort mon enfant la où somnoles
Les draps
Vas y dort mon enfants où les princes sont lois
Vas y dort mon enfant aux songes des cimes
Et non où songes déciment
Vas y dort mon enfant au enfer des lois
Vas y dort mon enfant
Où la vie s’éteindra
Vas y dort mon enfant vas y dort sous les toits
Les toits du monde
Où ta vie s’éteindra
Et où les toits immondes
Rêves nos mondes
Vas y dort mon enfant
Et rêves une seconde
Vas y dort mon enfant
Et rêve une seconde
Vas y dort mon enfant n’attend
Plus les secondes
Vas y dors mon enfant
Et viens dans la seconde
Vas y dort mon enfant
Et seconde seconde
Vas y dort mon enfant
Parmi nous qui secondent
Vas y dort mon enfant
Dort mon enfant
Sous les toits des secondes
Vas y dort mon enfant avant que la minute gronde
Vas y dort mon enfant où les fourmis cro-ondes
Vas y dort mon enfant aux confins des mondes.
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9. |
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ELGIA
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10. |
Le tuyau de la méduse
03:01
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ELGIA
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ELGIA France
Auteur, arrangeur / compositeur, interprète, la musique produite par ELGIA est une sorte d’alternative électroacoustique et
poétique en dialogue, dont le texte est souvent improvisé lors de l’enregistrement.
Author, arranger / composer, performer, the music produced by ELGIA is a kind of electro-acoustic and poetic alternative in talk over, the text of which is often improvised at the recording.
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